Conclusion:

Pour créer un objet il n'y a que deux façons : enlever de la matière ou en ajouter. Nous pouvons remarquer que dès de début le l’humanité, cela était appliqué. Le chasseur préhistorique enlevait de la matière pour créer son couteau alors que le potier lui en ajoutait pour réaliser son pot.

Ce TPE va s'intéresser à la deuxième manière de créer un objet : ajouter de la matière.

Nous avons pu donc voir à travers les différentes parties de notre TPE qu'il y a plusieurs technologie d'imprimantes 3D qui permettent de mettre en forme la matière. Chacune a ses propres avantages et limites mais toutes sont perfectibles et vont dans les années à venir être à la portée de tous.

On peut faire l'analogie entre l'impression 3D et l'impression 2D (papier) car ces inventions se ressemblent en tout point.

Au début personne n'y croyait : Gutenberg eu beaucoup de mal à convaincre Fust (riche banquier de l'époque) de accorder de lui prêt quand il est venu lui parler de l'imprimerie. Aujourd'hui l'impression papier est aussi banale qu'indispensable.

Pour l'impression 3D c'est un peu la même chose. En effet en 1983 une équipe de chercheurs Français met au point un principe d'impression 3D laser et dépose un brevet mais :  « faute de ne pas voir l'avenir de cette invention le retire trois semaines après ».

On peut donc affirmer sans prendre de risque de d'ici quelques années d'impression 3D va se démocratiser et s'installer dans la plupart des foyers.

Nous avons vu dans ce TPE quelques principes d'impression 3D qui permettent de mettre en forme la matière mais il en existe beaucoup d'autres comme par exemple le polyjet ou encore le DLP.

Pour conclure nous pouvons retenir notre attention sur le fait que l'on parle souvent de « créer un objet avec l'impression 3D ». Cependant cette phrase est fausse car il ne faut pas oublier que l'on ne créer pas l'objet, on met en forme la matière à l'aide d'une imprimante pour lui donner la forme souhaitée. Pour terminer nous pouvons rappeler la citation célèbre de Lavoisier qui illustre parfaitement la situation : « rien ne se perd, rien ne se créer, tout se transforme ».