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L'impression 3D,bouleverse les modes de construction et la manière de concevoir, avec une réduction de temps de construction.

D’après Contour Crafting (Université de South California), elle permettrait également de réduire les émissions de CO2 et l’énergie grise(1) de respectivement 75 % et 50 % par rapport à un procédé traditionnel.Ces résultats sont possible avec un niveau de qualité des produits qui doit rester le même et un excellent niveau de qualité environnementale.

 

Les chiffres clés de l’impression 3D

 

-Le procédé de fabrication additive(2) permettait de réduire de 75 % les émissions de CO2 et de 50 % l’énergie grise .

-10 maisons de 200 m² en 24 h pour un prix de 3 500 euros la maison. 

 

De nombreux défis à relever

-La définition du bon matériaux suffisamment malléable pour l'imprimante 3D reste a trouver pour garder le structure nécessaire une fois imprimé.

-Les temps de séchage, les granulats(3), la superposition des couches pour garantir la résistance du produit fini… Tous ces paramètres doivent être pris en compte dans la définition du « bon » matériau, adapté à l’impression 3D.

Definitions :

1 : L’énergie grise est la quantité d’énergie nécessaire à la production et à la fabrication des matériaux ou des produits industriels.

2 : La fabrication additive désigne les procédés de fabrications d'ajout de matière, la plupart du temps assistés par ordinateur.

3 : Le granulat est un fragment de roche, d'une taille inférieure à 125 mm, destiné à entrer dans la composition des matériaux destinés à la fabrication d'ouvrages de travaux publics et de bâtiment.


 

 

L’impression 3D, l’avenir de la construction ?

Vers un bouleversement des modes constructifs ?

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